Une vingtaine de personnes appartenant à diverses associations œuvrant dans le domaine social se sont réunies mardi 31 janvier à la permanence.
Les débats ont portés sur des sujets très variés comme l’aide aux devoirs, pour lesquels un grand nombre de structures travaillent, « en ordre dispersé », les séjours de vacances dont le coût fort élevé pour les familles à revenus intermédiaire a été déploré, l’aide aux jeunes en difficultés qui, là aussi fait apparaître l’intervention de nombreux partenaires, le soutien aux personnes âgées isolées…
L’action sociale relève essentiellement du département. Les statuts des associations y travaillant sont très variés, certaines sont les représentations locales de grandes associations nationales (secours catholique, restaurant du cœur, UDAF…), d’autres résultent d’initiatives locales.
Ce qui ressort de ces débats variés et intéressant est la nécessité d’une coopération entre les associations œuvrant pour les mêmes causes et donc d’une coordination de leurs actions. La municipalité devrait jouer un rôle moteur dans la mise en place de cette concertation. Il faudrait peut-être définir des groupes de travail par public (même si des passerelles existent forcement) : jeunes, personnes âgées…
Ce travail en commun permettrait une mutualisation des moyens et une meilleure efficacité de l’action de chacun. Une démarche pourrait être de définir, au travers d’une véritable préparation commune du CLUS, ce dont la ville a besoin en termes d’action sociale et de voir ensuite quelle part peut prendre chaque association à la réalisation des objectifs définis.
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